mercredi 30 novembre 2011

L’allégorie de la grenouille

Il était une fois une course ... de grenouilles

L’objectif était d’arriver en haut d’une grande tour.
Beaucoup de gens se rassemblèrent pour les voir et les soutenir.
La course commença.
En fait, les gens ne croyaient pas possible que les grenouilles atteignent la cime et toutes les phrases que l’on entendit furent de ce genre :
« Inutile !!! Elles n’y arriveront jamais ! »
Les grenouilles commencèrent peu à peu à se décourager, sauf une qui continua de grimper et les gens continuaient :
« ... Vraiment pas la peine !!! Elles n’y arriveront jamais!... »
Et les grenouilles s’avouèrent vaincues, sauf une qui continuait envers et contre tout …
A la fin, toutes abandonnèrent, sauf cette grenouille qui, seule et au prix d'un énorme effort, rejoignit la cime.
Les autres, stupéfaites, voulurent savoir comment elle avait fait.
L’une d’entre elles s’approcha pour lui demander comment elle avait fait pour terminer l’épreuve.
Et découvrit qu’elle...
était sourde !

N'écoutez donc pas les personnes qui ont la mauvaise habitude d’être négatives ...
car elles volent les meilleurs espoirs de votre cœur !

Rappelez-vous du pouvoir qu’ont les mots que vous entendez ou que vous lisez et soyez TOUJOURS POSITIF !

En résumé :
Soyez toujours sourd quand quelqu’un vous dit que vous ne pouvez réaliser vos rêves.


Je suis - Marcel Gagnon

Tant que tu croiras que le Dieu que tu cherches est caché là-haut dans le ciel,
Tant que tu croiras que ton salut se trouve dans les religions, les sectes, les gourous ou autres,
Tant que tu croiras que tu es trop petit pour te pardonner et que Dieu seul peut le faire,
Tant que tu croiras que ta pensée ne peut changer le monde,
Tant que tu croiras qu'il faut pardonner aux autres au lieu de les accepter tels qu'ils sont.

Tu es seul et prisonnier mon frère !

Si tu crois que le grain de sable fait partie du désert,
Si tu crois que l'arbre est forêt,
Si tu crois que la goutte d'eau s'appelle océan,
Si tu crois que ta pensée écrit le sort du monde,
Si tu crois que ton unité fait partie du tout,
Si tu crois que le Dieu que tu cherches est en toi, et que tu es toi-même Dieu.
Si tu crois que tu es assez grand pour te pardonner et accepter les autres,

Eh bien, tu es devenu l'humanité, le vent, les montagnes et tout ce que tu désires :

tu es libre mon frère !

Source: Marcel Gagnon

Poème chimois sur l'argent

A chacun de l'interpréter avec sa carte du monde ...;-)

L’ARGENT 

Il peut acheter une maison 
Mais pas un foyer 

Il peut acheter un lit 
Mais pas le sommeil 

Il peut acheter une horloge 
Mais pas le temps 

Il peut acheter un livre 
Mais pas la connaissance 

Il peut acheter une position 
Mais pas le respect 

Il peut payer le médecin 
Mais pas la santé 

Il peut acheter du sang 
Mais pas la vie 

Il peut acheter du sexe 
Mais pas de l’amour

L'Estime de soi

Plusieurs personnes ont le sentiment d'avoir perdu leur valeur personnelle suite à des expériences d'échecs, de violence physique ou verbale, de viol, de rejet, de dénigration,de manque d'amour etc…

Alors la personne en vient à penser qu'elle ne vaut pas grand chose. Jusqu'au jour ou un(e) ami(e) lui propose un petit exercice.

En lui présentant un billet de banque, l'ami(e) lui demande combien vaut ce billet?

20.00$ de répondre la personne blessée.

Tout à fait répond l'ami(e). Maintenant regarde bien. Et l'ami(e) prend le billet de 20.00$ et le froisse le plus possible, le jette par terre et le piétine à plusieurs reprises en répétant " Tu ne vaux rien, c'est de ta faute! "

Et l'ami(e) de dire c'est bien comme ça que tu te sens depuis tes expériences passées! Et c'est pour ça que tu as l'impression de ne rien valoir.

Maintenant l'ami(e) reprend le billet de 20.00$ et le défroisse et le présente à la personne blessée.
Dis-moi, combien vaut-il maintenant?
Il vaut toujours 20.00$ n'est ce pas?

Oui de répondre la personne blessée mais il est très froissé!

Et après? Poursuit l'ami(e) Si je vais à l'épicerie avec, est-ce que sa valeur sera de 5.00$, 15.00$ ou de 20.00$ ?
La personne blessée reconnut qu'il sera toujours de 20.00$.

Alors de lui dire l'ami(e), C'est la même chose pour TOI, peut importe ce que tu as vécu dans la vie, tu as toujours la même VALEUR!

Chaque fois que tu manipuleras un billet de 20.00$ rappelle-toi ta propre valeur, ce que tu as vécu, ce n'est pas ce que TU ES.!!

Le serment d'Hypocrate

Je jure par Apollon, médecin, par Esculade, par Hygie et Panacée, par tous les dieux et toutes les déesses, les prenant à témoin que je remplirai, suivant mes forces et ma capacité, le serment et l'engagement suivants:je mettrai mon maître de médecine au même rang que les auteurs de mes jours,je partagerai avec lui mon savoir, et, le cas échéant, je pourvoirai à ses besoins; je tiendrai ses enfants pour des frères, et, s'ils désirent apprendre la médecine, je la leur enseignerai sans salaire ni engagement.


Je ferai part des préceptes, des leçons orales et du reste de l'enseignement à mes fils, à ceux de mon maître, et aux disciples liés par un engagement et un serment suivant la loi médicale, mais à nul autre.

Je dirigerai le régime des malades à leur avantage, suivant mes forces et mon jugement, et je m'abstiendrai de tout mal et de toute injustice.

Je ne remettrai à personne du poison, si on m'en demande, ni ne prendrai l'initiative d'une pareille suggestion; semblablement, je ne remettrai à aucune femme un pessaire abortif.

Je passerai ma vie et j'exercerai mon art dans l'innocence et la pureté.

Je ne pratiquerai pas l'opération de la taille, je la laisserai aux gens qui s'en occupent.

Dans quelque maison que j'entre, j'y entrerai pour l'utilité des malades, me préservant de tout méfait volontaire et corrupteur et surtout de la séduction des femmes et des garçons, libres ou esclaves.

Quoi que je vois ou entende en société pendant l'exercice ou même hors de l'exercice de ma profession, je tairai ce qui n'a pas besoin d'être divulgué, regardant la discrétion comme un devoir en pareil cas.

Si je remplis ce serment sans l'enfreindre, qu'il me soit donné de jouir heureusement de la vie et de ma profession, honoré à jamais parmi les hommes; si je le viole et que je me parjure, puissé-je avoir un sort contraire !

La Stratégie Bang-Bang

La stratégie Bang Bang a été développée lors d'une modélisation de 35 personnes HIV +, en bonne santé depuis 10 ans au moins. Tous en possédaient les éléments clés. Cette stratégie est destinée à filtrer instantanément les messages négatifs ou inhibiteurs par rapport au maintient d'un état de santé. Il s'agit donc d'un moyen concret pour rendre notre système immunitaire intelligent par rapport aux innombrables virus de pensée qui circulent librement à propos du Sida.

Lire la suite sur le site de l'Institut Ressources PNL: La Stratégie Bang-Bang

SOS d'un terrien en détresse

Johnny
Pourquoi je vis, pourquoi je meurs
Pourquoi je ris, pourquoi je pleure
Voici le S.O.S
D'un terrien en détresse
J'ai jamais eu les pieds sur Terre
J'aim'rais mieux être un oiseau
J'suis mal dans ma peau

J'voudrais voir le monde à l'envers
Si jamais c'était plus beau
Plus beau vu d'en haut
D'en haut
J'ai toujours confondu la vie
Avec les bandes dessinées
J'ai comme des envies de métamorphose
Je sens quelque chose
Qui m'attire
Qui m'attire
Qui m'attire vers le haut

Au grand loto de l'univers
J'ai pas tiré l'bon numéro
J'suis mal dans ma peau
Pourquoi je vis, pourquoi je meurs
Pourquoi je crie, pourquoi je pleure
Je crois capter des ondes
Venues d'un autre monde
J'ai jamais eu les pieds sur Terre
J'aim'rais mieux être un oiseau
J'suis mal dans ma peau

J'voudrais voir le monde à l'envers
J'aim'rais mieux être un oiseau
Dodo l'enfant do


Starmania, 1978
SOS d'un terrien en détresse
Paroles: Luc Plamondon, Musique: Michel berger

Psaume - Extrait de "Le Roy se Crée" de Christian Flèche

Psaume


Un mythe est un mensonge qui dit une vérité
Une loi affirme une vérité qui cache un mensonge

J'ai raison quand j'ai tort
Et quand j'ai tort j'ai raison
Car je suis mon propre chemin
Je montre ce que je cache
Et je cache ce que je montre
Car je suis mon propre chemin
J'introduis en moi ce qui s'y trouve déjà
Et j'en sors ce qui n'y est pas
Car je suis mon propre chemin
Un jour le temps disparaîtra
En un lieu qui n'exista jamais
Car je suis mon propre chemin
Et l'illusion me fait peur
Quand l'illusion me rassure
Car je suis mon propre chemin
Je cherche ce que je fuis
Et suis ce qui me cherche
Car je suis mon propre chemin
Je suis, moi, séparé de moi,
Et, par moi, suis agressé
Car je suis qui je suis
Je ne désire plus ce qui me manque
Je n'évite plus ce qui m'attaque
Car je suis qui je suis
Ne désire plus l'illusion du manque
N'évite plus l'illusion de la violence
Car nous suivons ce que nous sommes
Et sommes ce que nous poursuivons
J'ai raison d'avoir tort
Et tort d'avoir raison
Victime d'une illusion
Coupable de ce que je n'ai pas provoqué
Je suis protégé par la peur
Et libéré par les interdits
Aujourd'hui, réponds-moi, lecteur muet,
Qui fus-je en naissant ?
Qui suis-je en essence ?
Qui fuis-je en laissant
A tout néant, sens !?

Source: Le Roy se crée, Christian Flèche, Editions Le Souffle d'Or, 2002

Le Petit Tailleur de Pierre

Il était une fois un tailleur de Pierre qui en avait assez de s’épuiser à creuser la montagne sous les rayons de soleil brûlants. « J’en ai marre de cette vie. Tailler, tailler la pierre, c’est éreintant… et ce soleil, toujours ce soleil ! Ah ! Comme j’aimerais être à sa place, je serais là-haut toutpuissant, tout chaud en train d’inonder le monde de mes rayons », se dit le tailleur de pierre. Or, par miracle, son appel fut entendu. Et aussitôt, le tailleur se transforma en soleil. Il était heureux de voir son désir réalisé.
Mais, comme il se régalait à envoyer partout ses rayons, il s’aperçut que ceux-ci étaient arrêtés par les nuages. « A quoi ça me sert d’être soleil si de simples nuages peuvent stopper mes rayons ! s’exclama-t-il, si les nuages sont plus forts que le soleil je préfère être nuage. » Alors il devient nuage. Il survole le monde, court, répand la pluie, mais soudain le vent se lève et disperse ce nuage. » Ah ! Le vent arrive à disperser les nuages, c’est donc lui le plus fort, je veux être le vent », décide-t-il.
Alors, il devient le vent ?
Oui, et il souffle de par le monde, il fait des tempêtes, des bourrasques, des typhons. Mais tout d’un coup il s’aperçoit qu’il y a un mur qui lui barre le passage. Un mur très haut et très dur. Une montagne. « A quoi
ça me sert d’être le vent si une simple montagne peut m’arrêter ? C’est elle qui est la plus forte ! » dit-il.
Alors, il devient la montagne !
Exact. Et à ce moment, il sent quelque chose qui le tape. Quelque chose de plus fort que lui, qui le creuse de l’intérieur. C’est … un petit tailleur de pierre…

L'île des sentiments

Il était une fois, une île ou tous les différents sentiments vivaient : le Bonheur, la Tristesse, le Savoir, ainsi que tous les autres, l'Amour y compris.
Un jour on annonça aux sentiments que l'île allait couler. Ils préparèrent donc tous leurs bateaux et partirent. Seul l'Amour resta. L'Amour voulait rester jusqu'au dernier moment.

Quand l'île fut sur le point de sombrer, l'Amour décida d'appeler à l'aide. La Richesse passait à
coté de l'Amour dans un luxueux bateau. L'Amour lui dit :
"Richesse, peux-tu m'emmener?"
"Non car il y a beaucoup d'argent et d'or sur mon bateau. Je n'ai pas de place pour toi."


L'Amour décida alors de demander à l'Orgueil, qui passait aussi dans un magnifique vaisseau :
"Orgueil, aide moi je t'en prie !"
"Je ne puis t'aider, Amour. Tu es tout mouillé et tu pourrais endommager mon bateau."


La Tristesse étant à coté, l'Amour lui demanda :
"Tristesse, laisse-moi venir avec toi. ".
"Ooh... Amour, je suis tellement triste que j'ai besoin d'être seule !"


Le Bonheur passa aussi à coté de l'Amour, mais il était si heureux qu'il n'entendit même pas
l'Amour l'appeler !


Soudain, une voix dit :
" Viens Amour, je te prends avec moi."
C'était un vieillard qui avait parlé.
L'Amour se sentit si reconnaissant et plein de joie qu'il en oublia de demander son nom au
vieillard. Lorsqu'ils arrivèrent sur la terre ferme, le vieillard s'en alla.
L'Amour réalisa combien il lui devait et demanda au Savoir :
"Qui m'a aidé ?"
"C'était le Temps" répondit le Savoir.
"Le Temps ?" s'interrogea l'Amour.
"Mais pourquoi le Temps m'a-t-il aidé ?"
Le Savoir sourit plein de sagesse et répondit :
"C'est parce que seul le Temps est capable de comprendre combien l'Amour est important dans la Vie."

Conte Japonais

Conte Japonais

Un jeune aventurier plein d’ambition, voulut savoir la différence entre l’enfer et le paradis. Comme il était très appliqué et très dévoué, il put bénéficier du privilège de ce savoir. En rêve, il fut emmené en visite dans ces lieux inconnus. Il fut d’abord très étonné par les ressemblances de ces deux mondes. En effet, dans les deux, les personnes qui y séjournaient étaient dotées de baguettes pour saisir leur nourriture mais ces baguettes étaient
tellement longues qu’elles ne permettaient pas de saisir la nourriture et de la porter à sa bouche. Mais ce qui étonna encore plus le jeune aventurier c’était ce qui différenciait ces deux mondes. En enfer, les convives ne pensant qu’à eux-même tentaient de s’emparer des plus beaux morceaux. Ils se bousculaient, se contorsionnaient pour parvenir à saisir avant les autres la nourriture et se la mettre en bouche. Ils payaient au prix
fort chaque grain avalé ! Au paradis par contre l’ambiance était toute autre. Les convives partageaient leur repas dans la bonne humeur car chacun utilisait sa baguette pour nourrir le convive d’en face !

Un Seul Moment - Institut Ressources PNL - Avril 2002

Un Seul Moment

I1 n'y a qu'un âge dans la vie
Pour que les gens soient heureux.
Seulement, à un moment dans la vie de chaque personne,
I1 y a du temps pour rêver et faire des plans
Et avoir l'énergie de les réaliser. ..
Un seul âge pour que les gens puissent s'enchanter de la vie
Et vivre passionnément et jouir avec toute intensité
Sans peur ni culpabilité d'éprouver du plaisir.
Seulement une phase dorée pendant laquelle les gens peuvent créer et
Recréer, dans la vie, leur propre image et ressemblance.
Et s'habiller de toutes les couleurs et expérimenter tous les goûts,
Et succomber à tous les amours sans idées préconçues ni honte.
Un seul temps pour l'enthousiasme et le courage
Pendant lequel tous les défis sont une invitation à combattre.
Où les gens sont dans la meilleure disposition
Pour essayer quelque chose de nouveau, encore et encore,
Aussi souvent que nécessaire.
Cet âge est si fugace dans la vie,
I1 s'appelle PRESENT
Et il a la durée de l'instant qui passe.

(Nous avons perdu les coordonnées de l'auteur de ce texte ; nous ne souhaitons en aucun cas nous approprier ce dernier, mais seulement le partager avec vous...)

Périodique de l'Institut Ressources PNL d'avril 2002

Tu seras un homme, mon fils...(Rudyard Kipling)

Tu seras un homme, mon fils

Si tu peux voir détruit l'ouvrage de ta vie
Et sans un seul mot te mettre à rebâtir
Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties
Sans un geste et sans un soupir,
Si tu peux être amant sans être fou d'amour;
Si tu peux être fort sans cesser d'être tendre
Et te sentant haï sans haïr à ton tour,
Pourtant lutter et te défendre;
Si tu peux supporter d'entendre tes paroles
Travesties par des gueux pour exciter des sots,
Et d'entendre mentir sur toi leurs bouches folles
Sans mentir toi-même d'un mot;
Si tu peux rester digne en étant populaire,
Si tu peux rester peuple en conseillant les rois
Et si tu peux aimer tous tes amis en frères
Sans qu'aucun d'eux soit tout pour toi;
Si tu sais méditer, observer et connaître,
Sans jamais devenir septique ou destructeur,
Rêver mais sans laisser ton rêve devenir ton maître,
Penser, sans n'être qu'un penseur;
Si tu peux être dur sans jamais être en rage,
Si tu peux être brave et jamais imprudent,
Si tu peux être bon, si tu sais être sage,
Sans être moral ni pédant;
Si tu peux rencontrer triomphe après défaite
Et recevoir ces deux menteurs d'un même front
Si tu peux conserver ton courage et ta tête
Quand tous les autres les perdront;
Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire
Seront à tout jamais tes esclaves soumis
Et, ce qui vaut bien mieux que les Rois et la Gloire,
Tu seras un homme, mon fils.

Rudyard Kipling

Venez jusqu'au bord...(extrait de Conversation avec Dieu, Neale Donald Walsch)

Le poète-philosophe français Guillaume Apollinaire a écrit:

"Venez jusqu'au bord."
"Nous ne pouvons pas. Nous avons peur."
"Venez jusqu'au bord."
"Nous ne pouvons pas. Nous allons Tomber !"
"Venez jusqu'au bord."

Et ils sont allés
Et il les a poussés
Et ils se sont envolés.

Venez. Envolons-nous ensemble

Neale Donald Walsch, Auteur de Conversations avec Dieu

Notre plus grande peur...(Nelson Mandella)

Notre plus grande peur n'est pas de ne pas être capable mais d'être puissant au delà de toute mesure. C'est notre lumière et non notre obscurité qui nous effraie. Nous nous demandons : mais qui sommes-nous pour être brillants, géniaux, talentueux et extraordinaires ? En fait, on devrait plutôt se dire: qui sommes-nous

pour ne pas l'être. Vous êtes tous des enfants "des créateurs". Votre tendance à jouer petit n'aide pas beaucoup le monde. II n'y a rien d'illumiée à rétrécir de façon à ce que les autres ne se sentent pas

en insécurite autour de vous. Nous sommes nés pour exprimer la gloire "des créateurs" qui ont leur demeure en nous. Et elle n'est pas juste en nous mais en chaque être humain. Et quand on permet à notre lumière de briller, on donne inconsciemment aux autres la permission de faire la même chose. Et ainsi, quand nous nous

libérons de nos peurs, notre présence libère automatiquement les autres.»


Nelson Mandella

mercredi 23 novembre 2011