mercredi 28 décembre 2011

mardi 13 décembre 2011

vendredi 9 décembre 2011

Les Présupposés de la PNL

Les présupposés de la PNL sont un ensemble de croyances que John Grinder et Richard Bandler recommandent d'adopter dans toute approche relationnelle. Comme toutes les croyances, elles ne peuvent être prouvées ou démontrées. On peut seulement remarquer qu'adopter ces croyances de départ permet de faire "fonctionner" toute la PNL.


Présupposés de la PNL :

  • La Carte n’est pas le territoire
    • Notre perception est subjective, elle est une représentation (carte ou modèle) de la réalité et non la réalité elle-même. Il existe (peut-être) une réalité. Il existe autant de représentations de cette réalité qu'il existe d'êtres humains.
  • Tout comportement est généré par une intention positive.
    • Cette présupposition est fondée sur une distinction entre un comportement et sa fonction/intention.
  • Il n’est pas possible de ne pas communiquer.
    • Refuser de communiquer avec quelqu'un est une communication. Celle-cipeut être verbale ou non verbale.
  • Le corps et le mental sont des aspects du même système cybernétique.
    • Ils s'influencent mutuellement.
  • Il n’y a pas d’échec, seulement du feedback.
    • Lorsque nous n'obtenons pas le résultat espéré, nous obtenons un feedbackqui nous informe de faire différemment au prochain essai.
  • Si ce que vous faites ne marche pas, essayez quelque chose d'autre.
    • Ne faites pas "Plus de la même chose".
  • Chacun possède toutes les ressources nécessaires à son développement.
    • Il peut toutefois être nécessaire d'organiser ces ressources potentielles pour qu'elles deviennent opérationnelles.
  • S’il est possible pour une personne d'acquérir une capacité comportementale ou « expérientielle », d'autres personnes ont la possibilité de l'acquérir.
    • Cet objectif s'atteint en découpant la compétence/capacité choisie en sous-composantes dont la taille et le nombre permettent l'apprentissage.

Our Deepest Fear

A rapprocher du texte de Nelson Mandella...
Ca date un peu, mais j'aime bien...



Tension Versus Relaxation

"Tension is who you think you should be.
Relaxation is who you are."

Proverbe Chinois

La Force

C'est à force de sortir des rêves que l'on rentre dans la réalité.
C'est à force d'essayer que l'on parvient à toucher la cible en plein coeur.
C'est la force et le courage qui fait de nous des chanceux aux yeux de certaines personnes.
C'est notre force à réaliser notre projet et à le réussir qui suscite les jalousies de ceux qui ne font rien pour y parvenir.
C'est la force en nous qui nous pousse à aller parfois là où nous ne savons même pas que nous irons un jour.
C'est la force de notre foi qui renforce notre capacité à être.
C'est à force de renoncer à son passé que l'on peut aller de l'avant.
Et, c'est finalement en lâchant prise que l'on tient aux véritables choses de la vie.

Auteur inconnu.
Paru dans une des brochures d'information de l'Institut Ressources PNL

jeudi 8 décembre 2011

Qu’est-ce que la fasciathérapie ?

La fasciathérapie est une thérapie manuelle qui agit sur toutes les structures du corps (os, articulations, ligaments, muscles, artères, cœur, poumons, intestins...) et en particulier sur les "fascias", fines membranes qui enveloppent et relient entre eux tous ces éléments comme une toile d’araignée.

Les fascias ont plusieurs fonctions...lire la suite sur www.fasciatherapie.be...

mercredi 7 décembre 2011

Qu'est-ce que Le Reiki ?

Le mot «REIKI» est un mot japonais qui signifie Force de Vie Universelle. Il se prononce RAY - KI.
  • REI = Universel, Esprit transcendant, Puissance mystérieuse, Essence.
  • KI = Énergie de la Force de Vie

L'univers est créé de cette Énergie de force de vie qui prend des noms différents selon les traditions. En chinois, c'est le CHI comme TAI CHI ou l'énergie présente en acupuncture. Pour les Chrétiens, c'est la LUMIÈRE, L'ESPRIT SAINT. Pour les Hindous, c'est la SHAKTI, KUNDALINI. Pour les Russes, c'est le BIOPLASME. Pour l'école ésotérique, c'est la FORCE COSMIQUE. D'autres l'appelleront la CONSCIENCE UNIVERSELLE.

Le Reiki suit un principe d'initiations d'un élève par un maître. Une fois initée, une personne devient automatiquement un canal pour cette Energie Universelle, et peut dès lors la transmettre à une autre personne (receveur). Pour transmettre cette Energie, la personne initiée (donneur ou praticien) pose ses mains à différents endroits du corps du receveur. Ces endroits correspondent, entre autres, aux chakras primaires et secondaires et aux différents points énergétiques du corps. Une séance classique dure de 60 minutes à 90 minutes.

Qu'est-ce que l'EMDR ?

L'EMDR, de quoi s’agit-il ?

EMDR est l’acronyme de « Eye Movement Desensitization and Reprocessing » qui veut dire désensibilisation et reprogrammation par le mouvement des yeux.
Le site http://www.emdr-belgium.be présente la découverte de l’EMDR de la manière suivante:
Francine Shapiro est une thérapeute américaine fondatrice de la méthode EMDR.
C'est en 1979, pendant qu'elle termine son doctorat en littérature anglaise à l'Université de New York, que Francine Shapiro apprend qu'elle est atteinte de cancer. Parallèlement à ses traitements médicaux, elle se met à s'intéresser aux liens entre le stress, l’activité mentale et la maladie, liens mis à jour par les nouvelles découvertes de la psycho-neuro-immunologie. En plus de participer à toutes sortes de séminaires et d'ateliers sur la relation corps-esprit (mind-body) donnés à travers les États-Unis, elle reprend ses études, en psychologie cette fois, et obtient un doctorat.
Mais c'est une intuition, survenue pendant une ballade dans un parc, alors qu'elle ruminait quelques idées noires, qui la met sur la piste de l'EMDR. Tout à coup elle se rend compte qu'elle se met à balayer nerveusement du regard le paysage, de gauche à droite. C'est alors qu'elle se rend compte que la charge négative de ses pensées diminue. Elle ose donc l'hypothèse d'un lien entre les deux événements. S'ensuivent quelques mois d'expérimentation sur elle-même, puis avec ses proches, et enfin avec ses clients en psychothérapie. Sa première recherche clinique commence fin 1987. Elle l'applique d'abord sur un groupe de volontaires puis sur des vétérans du Vietnam avant d'en publier les résultats en 1989.
En 2002, elle reçoit le prix Sigmund Freud pour son apport à la psychothérapie.

(Fin de citation)

L'EMDR, comment ça se passe ?

En EMDR, le client va donner une situation problème dans laquelle il y a une charge émotionnelle importante. Le thérapeute lui demande d’évaluer sur une échelle de 1 à 10 le degré de perturbation qu’il ressent. Le client restant focalisé sur cette situation problème, le thérapeute active alternativement le cerveau gauche et droit, soit en faisant suivre des yeux ses doigts qu’il balaye rapidement de gauche à droite, ou en tapotant alternativement sur le genou gauche et droit du patient, jusqu’à ce qu’un changement se manifeste chez le patient. On réévalue alors sur une échelle de 1 à 10, et on recommence, jusqu’à annuler la charge émotionnelle négative.
Cette technique est particulièrement adaptée pour les problèmes ou il y a une charge émotionnelle forte, comme les PTSD dont nous avons parlé plus haut.

Qu'est-ce que l'hypnose ?

L'hypnose, de quoi s’agit-il ?

Sylvie Tenenbaum écrit dans son livre « L’hypnose éricksonienne : un sommeil qui éveille » :
Il existe aujourd’hui une définition acceptée par l’ensemble des hypnothérapeutes professionnels occidentaux selon laquelle l’hypnose est un état modifié de conscience fondé sur le principe de la dissociation. L’état d’hypnose est donc un état dissocié : dissociation entre la partie consciente et la partie inconsciente, ces deux instances travaillant parallèlement, mais sur des thèmes et avec des processus différents. Cet état présente des caractéristiques neurologiques et physiologiques bien particulières que nous verrons plus loin lorsque nous étudierons l’état de transe. Certains utilisent parfois le terme « altéré » au lieu de « modifié » : nous préférons la seconde dénomination car la première, traduction littérale de l’anglais rencontrée dans de nombreux ouvrages, a une connotation péjorative puisque l’altération peut aussi bien évoquer l’idée de dégradation.
Cet état modifié de conscience qualifie certains types d’expériences au cours desquelles nous pouvons avoir l’impression que notre conscience ne fonctionne pas comme à l’accoutumée, que nos perceptions de l’environnement et de nous-même sont différentes.
François Roustang le qualifie de « veille paradoxale », expliquant cette appellation par le fait que cet état associe à la fois les traits caractéristiques de l’état de veille – la vigilance du sujet s’en trouve alors accrue – et ceux du sommeil paradoxal, au cours duquel notre imaginaire est totalement libéré. Selon lui, l’hypnose serait dons le symétrique à l’état de veille, du sommeil paradoxal.
Milton Erickson avait commencé une recherche particulière avec Aldous Huxley sur la nature et les caractéristiques des divers états de conscience Ce travail a malheureusement été interrompu par la mort de l’écrivain, mais certains textes ont été conservés. L’auteur, à qui Milton Erickson demandait de décrire ce qu’il vivait en transe hypnotique – ou d’état modifié de conscience, a énuméré les éléments suivants :
  • Ses perceptions conscientes de l’environnement extérieur n’avaient, à ce moment-là, plus d’importance.
  • Il avait l’impression de se trouver dans un état qu’il avait déjà éprouvé, qui lui était connu.
  • Il avait une claire conscience de sa subjectivité
  • Il ressentait avec acuité l’existence en lui d’immenses possibilités et la présence d’un grand désir de maîtrise et d’utilisation de celles-ci
  • Il revoyait avec précision des souvenirs dans lesquels il prenait conscience des multiples expériences et apprentissages accumulés au cours de sa vie.
  • Il sentait que ses facultés intellectuelles étaient affinées
  • Il ressentait un grand confort d’être dans cet état
Bien sûr, ces éléments n’appartiennent qu’à leur auteur – même s’ils sont fréquemment rencontrés par les personnes expérimentant l’hypnose -, et chacun de nous vit à sa propre façon, personnelle et unique, cet état modifié de conscience. De ce fait, il est très difficile de donner une définition à la fois universelle, détaillée et précise de l’hypnose. Toute tentative se termine en querelles d’écoles à ce sujet car il s’agit d’un phénomène extrêmement subjectif et par là idiosyncratique (Note du F∴ Conf∴: spécifique à chaque individu). Enfin, tout comme pour les rêves, il est impossible d’en donner un contenu intégral.
L’idée que les médias transmettent souvent de l’hypnose entretient les craintes qu’elle génère chez certains. Qu’il s’agisse du « gourou » autoritaire et terrifiant frappant de stupeur des êtres « fragiles » ou des amuseurs publics qui, pour gagner leur vie, obligent à faire n’importe quoi des spectateurs consentant, l’image de l’hypnose reste encore entachée d’une réputation soit de prise abusive de pouvoir soit de charlatanisme entraînant les gens à se ridiculiser sur scène. Des connotations sexuelles sont parfois liées à cette pratique : une jeune femme m’a abasourdie le jour où j’ai commencé à lui parler d’hypnose. Elle s’est récriée : Ah, non, pas d’hypnose, j’ai peur que vous n’abusiez de moi ! Je connais une femme qui a eu des problèmes avec un homme qui voulait l’hypnotiser.
(…)
Cet état, Carol Erickson le décrivit ainsi lors d’un séminaire : une focalisation d’attention très intérieure de façon à lâcher l’extérieur. Milon Erickson fut le premier à affirmer que, sans le savoir, nous connaissions tous l’état hypnotique pour la bonne et simple raison qu’il fait partie de notre vie de tous les jours, et que, toujours sans le savoir, nous l’expérimentons très souvent au cours d’une journée.
Ce constat fait tomber d’un seul coup la magie qui auréole l’hypnose ; il bouscule aussi les conceptions qui la transforment en instrument de pouvoir. En effet, nous vivons cet état avec des variations toutes personnelles d’intensité, environ toutes les quatre-vingt-dix minutes en raison de nos rythmes biologiques, comme nous le verrons plus loin. L’hypnose, disait Milton Erickson, ne survient pas grâce à une méthode traditionnelle et rituelle. Quelqu’un peut spontanément développer un état d’hypnose. Il s’agit donc bien d’un état naturel : la transe, même légère, nous est extrêmement familière et nous vivons quotidiennement un grand nombre de phénomènes hypnotique. Combien d’amnésies passagères nous gênent-elles au cours d’une journée ? Qui ne s’est jamais attardé dans une douce rêverie au lieu de démarrer quand le feu passait au vert ? Qui n’a jamais cherché ses lunettes alors qu’elles étaient sur son nez (cela s’appelle une hallucination négative) ? Les exemples sont pléthore. Leur énumération serait fastidieuse, mais pour bien mettre en valeur la nature relativement anodine de l’état hypnotique, nous énumérerons encore quelques situations aussi banales et fréquentes que partagées par tous dans lesquelles nous sommes dans un état modifié de conscience, c’est-à-dire dans un état de transe hypnotique : quand nous nous ennuyons ou quand nous sommes passionnés par un sujet ou un orateur, avant de nous endormir, quand nous ne pouvons plus lutter contre le sommeil, quand nous sommes très concentrés sur une tâche. Par exemple, en écrivant ces lignes, je ne vois pas le temps passer et je suis toujours étonnée, en regardant ma montre, que tant d’heures se soient écoulées sans que je m’en rende compte : il s’agit d’une perception distordue du temps. Etc.
Grâce à cette prise de conscience, les ressorts de l’hypnothérapie ont été considérablement modifiés.

(Fin de citation)

L'hypnose, comment ça se passe ?

Dans une séance d’hypnose standard, le thérapeute va plonger le patient dans un état d’hypnose en parlant de manière particulière. Une fois que le client est en état d’hypnose, le thérapeute peut installer un mécanisme dit de signaling, c’est-à-dire qu’il va demander à l’inconscient de faire bouger un doigt pour dire « oui », un doigt pour dire « non », éventuellement un doigt pour dire « je ne sais pas ». Le thérapeute peut alors « discuter » avec l’inconscient, raconter des métaphores, des analogies visant à résoudre le problème de la personne. A la fin de la séance, le thérapeute sort le client de son état d’hypnose, de nouveau en parlant d’une manière particulière.
Il est à noter que beaucoup de modèles d’intervention PNL sont issus de l’hypnose, et donc auront la même structure. Ceci pour dire que le plus important, ou le plus difficile, n’est pas de mettre la personne en état d’hypnose, mais de savoir quoi faire, dire, ou poser comme question quand la personne est en état d’hypnose.

jeudi 1 décembre 2011

Modèle PNL - Guérir du deuil

Le modèle PNL de  Steve et Connirae Andreas pour guérir du deuil

Modèle PNL - Travail de Deuil

Le modèle PNL de Robert Dilts concernant le deuil...


Modèle PNL - Rester Centré

Modèle PNL pour rester centré

Croyances
  • Si je veux, je peux
  • Je suis relié à quelque chose de plus vaste
  • Tout peut s'arranger

Critères/Valeurs
  • Confiance
  • Connexion
  • Lumière (?)
  • Chaleur (?)

Métaprogrammes
  • Présent
  • Référence Interne
  • Accord
  • Aller Vers
  • Pro-Actif
  • Kinesthésique
  • Associé
  • Orientation Système + Mutuelle

Stratégie
  1. Position confortable, pieds légèrement écartés, tu peux mobiliser toute ton énergie. 
  2. Imagine un axe qui passe à travers ta colonne vertébrale et qui te relie vers le ciel et vers le sol. 
  3. Relie toi au plus vaste, à ce qui nous dépasse. Ressent toutes les énergies qui y circulent et garde en mémoire que tu peux y trouver toutes les ressources dont tu as besoin. 
  4. Par une inspiration profonde, laisse entrer toutes les ressources et énergies dont tu as besoin et laisse les descendre au plus profond de toi. (Respiration dans le ventre, dans le centre). 
  5. A l’expir, rejette tout ce dont tu n’as pas besoin et fais de la place pour accueillir les ressources. 
  6. A présent, tu ressens une force qui grandit, s’amplifie, rayonne jusqu’à englober tout ton environnement: Tu es le centre de cette énergie qui circule.

Méditation par le coeur, par les Maîtres d'Ascension

Visualise bien la flamme de lumière Christique située dans la poitrine.
Elle est l'expression manifeste de ton Moi Divin.
Vois-la comme une flamme merveilleusement flamboyante qui présente une densité certaine, comme une lumière épaisse et intense. Elle possède les qualités de régénérescence, de chaleur, de beauté, de paix, d'amour et de rayonnement. Elle devient le centre de ta conscience de lumière, là où l'expression de la Présence Divine prend son coeur en toi.
Cultive-la chaque jour comme le joyau le plus précieux que tu possèdes. Qu'elle flamboie en toi, en conscience, à chaque instant de ton attention.
Laisse-la maintenant s'expanser dans chacune de tes cellules. Elle leur apporte joie, amour, paix, humour, lumière, sagesse, guérison.
Termine en te frottant par 2 fois la poitrine en oblique (main gauche ou droite).

Comment réussir les échanges avec son Agguelos ?

  1. Je pense aux problèmes du moment : _______________1 minute 
  2. Je lui demande les solutions : _____________________1 seconde 
  3. Je m'endors : _________________________________0 seconde 
    1. Avec une certitude : _______________________0 seconde 
    2. La solution de mes problèmes existe : __________0 seconde 
    3. Et une confiance absolue : ___________________0 seconde 
    4. La solution proposée sera la meilleure 
  4. Total  ______________________________________< 62 secondes 
  5. Conséquences 
    1. Demain sera meilleur qu'aujourd'hui 
    2. Plus de stress, d'angoisse, de dépression, d'insomnie 
  6. Remarques 
    1. Bon échange : difficultés à se déplacer 
    2. Mauvais échange : rêve planant avec ombres menaçantes

Ouvertures Temporelles - Jean-Pierre Garnier-Malet